dimanche, juillet 27, 2008

On sent tout l'empressement de Al Gore à convaincre de l'urgence de se tourner vers un changement radical en faveur des énergies renouvelables.

En appelant les États-Unies vers ce changement, il a mis en garde contre une aggravation des problèmes liés au climat.
Selon l'ancien vice-président, la transformation devrait se faire dans un délai de 10 ans...

Ce changement est nécessaire parce que ¨la survie des États -Unies d'Amérique est en péril¨, a-t-il dit......et même plus encore, l'avenir de l'humanité...

Avons- nous le droit de prendre une chance de croire au discours trompeur de nos dirigeants fédéraux ou de celui de Al Gore?

denis bond

vendredi, juillet 18, 2008

Et ça continue dans le mauvais sens!



Il n'y aura pas de révolution climatique. Du moins , pas maintenant. Encore une autre fois, la dernière rencontre du groupe G8 nous l'a très bien démontré. Les changements climatiques ne sont pas dans les priorités des gouvernements. Ils sont plutôt préoccupés par une économie mondiale chancelante! Il faut toujours trouver une excuse pour reporter le problème à plus tard!



La décision des membres du G8 n'est pas un petit pas en avant, comme certains le prétendent mais plutôt un net recul...pour l'humanité! Une réduction de 50% des GES sur quoi? Sur nos émissions actuelles? Sur celles de 2005, comme le premier ministre du Japon l'a évoqué? Et qu'en est-il de l'année de référence de 1990 du protocole de Kyoto? On parle simplement d'une vision commune sur la réduction à long terme des gas à effet de serre. Encore une fois, on cherche à gagner du temps, à donner l'impression que le monde est sur la bonne voie et que des progrès importants ont été accomplis. Mais il n'en est rien!



Le dirigeant Harper était fier de son coup(mauvais)... Il a encore une fois réussi à jouer le trouble-fête avec la complicité des États-Unies et du Japon en faisant adopter une entente floue, sans plafond précis et en plus conditionnelle à l'adhésion des pays émergents. Quel bon truc pour ne rien faire!



Pendant que nos gouvernements se traînent les pieds, la dure réalité des changements climatiques nous frappe. On apprend que la mer est en hausse et que la région de l'est du Québec sera durement touchée par les risques de submersion; que l'érosion du littoral s'accentuera; qu'il y aura diminution des glaces en hiver, ce qui augmentera la fréquence des vagues qui contribuent à l'érosion des berges, et qu'il y aura davantage de redoux et de pluies hivernaux.

Toujours pendant que nos gouvernements se traînent les pieds, on apprend encore que les changements climatiques et la hausse des températures allaient bouleverser l'industrie de la pêche parce que les poissons sont sensibles aux moindres variations de température. La pêche est un moyen d'existence à plusieurs centaines de millions de personnes selon le Nations unies.

On apprend encore que la crise alimentaire se poursuit par la hausse récente des denrées alimentaires.

On apprend encore que les récifs coralliens sont de moins en moins nombreux dans le monde.

On apprend encore que le taux de disparition des espèces atteint des records. Ces espèces sont indispensables à la vie humaine.



Mais s'il faut se fier à nos dirigeants du G8, rien ne presse...


QUE FONTS-ILS CES DIRIGEANTS POUR FAIRE AVANCER LA CAUSE HUMAINE?

denis bond

vendredi, juillet 04, 2008

Excepté à dire que les conditions de la planète se détériore continuellement, les décisions importantes des politiciens se font très rares. La planète manque de leadership politique et il nous faut attendre la disparition du paysage, de George W. Bush. Il pourra porté avec lui, la très grande culpabilité d'avoir largement contribué au pourrissement des conditions de notre planète.

De plus, il faut ajouter que le comportement de nos dirigeants canadiens n'est pas très louable. Ils auront à supporter eux aussi l'odieux de leurs décisions.

De ce temps-là, les coûts de l'essence continue à grimper et à plus long terme ce sera assurément la tendance. Les effets de ces hausses se font sentir dans nos portefeuilles et la population commence à modifier ses habitudes de consommation. Voilà un beau côté de la chose...
Force nous est de constater que l'on agit quand ça touche le portefeuille!

Est-ce que l'on peut dire qu'il n'y a pas que les glaces qui fondent...les portefeuilles égallement???

denis bond

samedi, mai 17, 2008



Petites bonnes nouvelles brèves.




La première:


Pour une troisième année d'affilée des membres du groupe Vert pomme ont participé au nettoyage annuel des rives du Lac à Luc. Très beau geste significatif envers notre Terre.


Il faut se rappeler que ce lac est maintenant désigné une zone protégée par la ville de Matane.




La deuxième:


Dans le cadre du projet de plantation d'arbres du comité de revitalisation du centre-ville, la société d'horticulture de Matane a offert un très bel arbre, il s'agit d'un aubépine. Elle en a fait la plantation hier le 16 mai. Sa position stratégique, sur le terrain de la fabrique St-Jérôme en face du complexe culturel, attirera sans doute l'attention.


Comme résultat... une belle photo.
Denis Bond






mardi, mai 06, 2008

Comme je suis un participant à la revitalisation du centre-ville de Matane, je vous fait part de ce texte...


Mon centre-ville

Quand j’étais jeune, mes parents nous amenaient souvent, mon frère et moi, faire une promenade au centre-ville. Nous en profitions pour faire du lèche-vitrine. La télévision était à ses débuts et de nombreux magasins en faisaient la promotion.

Depuis ce temps-là, beaucoup de choses ont changé. Je me souviens avec beaucoup de nostalgie, de meubles Bélanger, de la librairie Préville, au Joli Versailles, du restaurant le Rendez-vous, Honoré Lévesque et bien d’autres encore.
J’ai vu fermer plusieurs de ces magasins. J’ai vu malheureusement brûler plusieurs hôtels. J’ai vu également tomber beaucoup d’arbres qui n’ont jamais été remplacés.

L’étalement urbain

Comme bien des centres-villes, le nôtre a subi les bouleversements du modernisme. Il a surtout été confronté à l’étalement urbain. Cependant, les aspects positifs de ces changements ne doivent pas nous faire oublier les côtés pervers.
Une plus large utilisation du territoire incite à la coupe des arbres souvent de manière exagérée. Un boulevard placardé d’enseignes et dénudé de végétation n’est pas très décorateur. La pollution engendrée par le déplacement des véhicules empoisonne l’air que nous respirons. L’éloignement nous fait rouler tandis que la proximité nous fait marcher et combattre le surpoids.

Retour au centre-ville

Les petites rues d’un centre-ville aux enseignes discrètes et accompagnées de jolies maisons coquettes sont réellement irremplaçables. Je rêve souvent à mon centre-ville d’antan. Certainement qu’il peut renaître à condition que chacun y mettre son effort, en l’embellissant, le décorant, en y participant en tant que commerçants, organismes et citoyens fiers.
Il n’en sera que plus agréable à fréquenter…
Je continue à rêver…

Denis Bond

dimanche, avril 27, 2008


Vous reconnaissez sûrement ces deux personnages!
Celui de gauche, actuel président des États-Unis n'aurait jamais dû l'être. Sous sa gouverne , le monde a reculé. Son départ à la fin de cette année ne peut que nous réjouir...
L'autre, Monsieur Al Gore a failli et aurait dû être nommé président des États-Unis, il y a presque huit années. Il est un leader naturel, avec un prestige énorme et un savoir-faire politique remarquable. il met tout son talent au service d'un enjeu crucial: le combat au réchauffement de la planète.
Sa dernière conférence à Montréal avait pour but premier de démontrer la réalité de ce réchauffement. Parce qu'il ne faut pas oublier que les forces du négativisme sont toujours très vivantes aux États-Unies et au Canada, ceci particulièrement chez notre gouvernement fédéral actuel. Mais le consensus scientifique est tel que la négation n'est plus possible...
Il manquait quelqu'un à la conférence, qui en aurait pourtant beaucoup profité. Son nom? Stephen Harper.


Vive Al Gore!!!

dimanche, avril 20, 2008

Mardi prochain, ce sera le Jour de la Terre, quoique ça devrait l'être à tous les jours!

Tous les habitants de la Terre font face à un défi colossal. La moyenne de l'augmentation de la température à la surface de la "Boule" ne devra pas dépasser 2 degrés celcius. Les plus grands spécialistes l'ont fixée ainsi, sinon ce serait la catastrophe pour toutes les espèces humaines , animales et végétales!

Pour les prochains vingt ans il est prévu également une augmentation de la demande en énergie de 60%. En dépis de ça , une réduction des émissions de gas à effet de serre de 20% par rapport aux émissions de 1990 sera nécessaire pour respecter le 2 degrés en question.
Quel défi!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Il y a urgence d'agir rapidement et massivement... et moi je ne ressens pas cet état d'urgence chez les individus et les gouvernements en général.

À l'occasion du Jour de la Terre, nous pourrions tous peût-être, faire un petit examen de conscience et se fixer des objectifs personnels de respect de la Terre.

Àprès tout, cette Terre est la source de notre existence!
Puisque nous buvons de son eau, nous respirons de son air et nous mangeons de ses aliments.

À plus tard!